Les montagnes sauvages.

Vous ne vous trouverez probablement pas ici de votre plein gré. Enfin, vous pouvez toujours, hein...

Des gens vivent dans cette partie de la décharge. Bon, d'accord, vivre est un bien grand mot, et ce n'est pas la peine de courir vers eux en hurlant "la civilisation, à nouveau" : ils vous recevront avec des tirs de P34, ou pire !
Parfois, on dirait que des parties du tas de métal s'animent, par ici. Cela bouge, cela mange les gens, enfin bon, c'est dangereux. Les griffons, par ici, sont particulièrement impossibles à vivre. Ils sont fait de métal fondu et solide alternés. Voici un extrait du journal de Clyde le barbare, aventurier sans peur et (presque) sans reproche, qui les a affrontés.

Citation :

Jour 26
J'ai vidé mon chargeur sur le plus petit d'entre eux. La première balle perforante a pénétré sa cuirasse, mais ensuite, il éjectait un gaz à température très élevée qui sublimait mes balles avant qu'elles ne le touchent.
Il m'a poursuivi sur presque un kilomètre. Malgré leur apparence pataude, ils sont capables de se déplacer très rapidement et je ne l'ai semé que grâce à mes réacteurs plasmatiques. Il me canardait avec du métal en fusion et des éclats tranchants quand je me trouvais trop loin pour qu'il m'atteigne avec ses tentacules mécaniques pleins de scies circulaires.
Jour 27
J'ai cru que j'en avais eu un avec une grosse charge explosive. En fait, il a juste diminué de volume et a recommencé à grossir en mangeant du métal.
Détail intéressant : il a avalé ce qui était un réacteur de fusée et m'a poursuivi dans les airs en faisant apparaître le même réacteur dans son dos.
Il semblerait qu'il puisse faire sortir en quelques secondes des dizaines d'armes de n'importe quelle partie de son corps, pour infliger un feu nourri à n'importe quelle cible, dans n'importe quelle direction.

Ah, et bien sûr, le métal est aussi chaud que partout dans le coin. Ne venez pas pieds nus.

Ici, vous pouvez...
- Survivre. (quoique...)
- Vous échapper. (c'te blague)